Quelques chiffres clés

• en maillant le territoire avec des correspondants locaux dans chaque commune.
• en activant des boucles de prestataires et fournisseurs situés sur le territoire.
• en actionnant de nouveaux leviers :
  1. La monnaie numérique, en réflexion à l’échelle de la Bretagne, est un outil important voire indispensable pour les plus grosses transactions, notamment entre prestataires et fournisseurs.
  2. La possibilité pour tous les adhérents de la Bizh d’utiliser une autre monnaie locale bretonne (et inversement). Cette adhésion élargie est prévue par le manifeste des MLCC bretonnes signé par MLK-Gwened. Une réflexion est en cours pour étendre cette possibilité aux prestataires du territoire de l’Ourse.

• En incitant les adhérents à être acteurs du développement de la monnaie à plusieurs niveaux : en tant que correspondants locaux, au sein des commissions, pour une aide ponctuelle lors de manifestations diverses, sur les marchés…
• En multipliant les comptoirs d’échange  (7 actuellement) et en faisant en sorte que ceux-ci soient mieux répartis sur le territoire et facilement accessibles.
• En développant des partenariats avec les élus locaux, les associations…

• Assouplir le mode d’agrément des prestataires en simplifiant le formulaire, la priorité étant d’encourager une optimisation des pratiques, au cas par cas.
• Créer  un groupe spécialisé dans le maillage des Prestataires.
• Renforcer les moyens humains en embauchant un jeune en «service civique» et en sollicitant davantage les adhérents.
• Créer des pôles de correspondants locaux (plusieurs personnes formant un groupe pour un ensemble de communes plutôt qu’un correspondant par  commune). Chaque correspondant local se donne comme objectif de trouver et former un autre correspondant sur des communes “désertées
• Prendre appui sur un professionnel de la communication et augmenter notre visibilité sur notre page facebook. 
• Mettre en valeur les prestataires sous forme de reportages écrits ou vidéos, sur le site de la Bizh et/ou la page facebook. 
• Organiser des rencontres conviviales, séminaires attractifs, conférences avec un intervenant reconnu dans le domaine des MLCC…
• Prendre appui sur des réseaux existants (médiathèques ,1/3 lieu…). L’exemple est donné de La villa Gregam à Grand Champ qui serait sensible à notre action et enchanté de nous recevoir !
• Intervenir  en milieu scolaire (le Galais en a tiré un bon relais !) Mise  en valeur des Prestataires par un «travail journalistique» de mini reportages en partenariat avec les écoles primaires, les collèges, les enseignants et les parents sensibilisés.
• Capter les (ré) adhésions  avec le service “Hello Asso” en ligne, pas de frais mais dons possibles pour Hello Asso.
• Réaliser les traductions français/breton dans le cadre d’un échange classe bilingue / association. 

•  La charte est perçue par certains comme très ouverte, par d’autres, invasive ! Elle requière l’unanimité en ce qui concerne le 1^er item : accompagner la relocalisation de l’économie. Le soutien aux  cultures et langues bretonnes questionne certains … Pour d’autres, il ne faut pas renier la langue Bretonne, élément fondamental du projet.
• Quel critère doit-on retenir pour agréer un prestataire ? Pour certains, le seul engagement serait de favoriser les circuits courts et la production  locale. Pour d’autres, l’adoption de bonnes pratiques serait à prendre en compte